« Charisme, présence, maitrise technique, le violon d’Elsa de Lacerda irradie d’une sonorité pleine et envoutante au service d’une imagination, d’une finesse et d’une liberté sans bornes »Tully Potter — The Strad
« (...) guidés par une respiration commune mais vivifiés par l'inspiration de chacun, et "emballés" dans la sonorité radieuse - et l'inépuisable énergie - du premier violon, Elsa de Lacerda »Martine Dumont-Mergeay — La Libre Belgique
« Dans Still Schubert paru chez Cyprès (...) A la musicalité frémissante d’Elsa de Lacerda, répondent l’engagement, la précision, et partant, la liberté toute entière de quoi faire rayonner son imaginaire propre et sa personnalité »Sébastien Porte — Télérama
Le charme authentique des contes populaires japonais prend étonnamment sens au son du violon, qui offre un visage proche aux personnages et une tournure virevoltante au récit.
Laissez-vous surprendre par le plaisir simple d'écouter une histoire contée par Stéphane Ferrandez, formé par les maîtres de la parole au Japon, accompagnée des notes virtuoses d' Elsa de Lacerda.
Un conteur, seul sur une scène dépouillée du moindre décor, revêtu d’un kimono, raconte des histoires pour nous faire rire, pleurer ou frémir suivant la saison. Dans ses mains, un éventail blanc et une pièce de tissu, le sensu et le tenugui, servent la gestuelle et dessinent de mouvements habiles une pléiade d’objets et de situations. Un positionnement de tête, une intonation de voix, et c’est un nouveau personnage qui apparaît. Un Japon à jamais disparu renaît sous nos yeux.